Docteur ès lettres et éditeur, membre de l’Amitié Charles Péguy, Benoît Chantre a fait paraître en janvier dernier, un ouvrage intitulé « Péguy point final » (édition du Félin). Dans ce livre, l’auteur entend mettre un "point final aux contresens qui ont entouré l’homme et l’œuvre". Cette parution a donné lieu à plusieurs articles de presse que nous relayons ci-dessous.

(Article rédigé le 07/03/2014, mis à jour le 20/07/2014)

 

 

Philosophie Magazine, 7 juillet 2014

« Dans un fervent essai, Benoît Chantre entend poser un « point final » à cette fixation du personnage en patriote et ouvrir d’autres lignes de fuite : en amont, vers une constante et essentielle rumination sur l’Histoire et la politique ; en aval, vers la sainteté au-delà de l’héroïsme. »

(Article signé Catherine Portevin -  à lire ici)

  

 

Etudes, juin 2014

« Chantre montre combien il est nécessaire de partir du « point final » que fut le départ assumé pour la guerre du soldat Péguy pour remonter à l’origine de l’écriture et de la pensée de l’histoire comme dépassement de l’héroïsme en sainteté. Il s’agit moins d’exalter la figure du héros que de retracer comment la célèbre écriture de Péguy, faite de reprises et de répétitions, figure l’ascension de l’homme vers son point de fuite, celui de la grâce et de la sainteté. »

(Article signé Brice de Villers – à lire ici)

  

France Culture, 13 mai 2014, Emission "Les nouveaux chemins de la connaissance"

Dans le cadre d'une semaine consacrée à Charles Péguy, Benoît Chantre est l'invité de l'émission d'Adèle Van Reeth.

(Emission à (ré)écouter ici)

 

 

Art Presse, mai 2014, « Charles Péguy, la lecture comme engagement »

(Le grand mérite de ce livre) « est de lier ensemble toutes les données de l'œuvre, de montrer à partir de sa fin mystique, catholique, l'"agencement", l'"articulation", entre le saint et le héros, l'histoire et son horizon, le temporel et l'éternel. »

(Article signé Patrick Kéchichian – à lire ici)

  

 

Libération, 27 mars 2014

« Une relecture originale, pour mieux comprendre le combat du poète contre un concept d'histoire qu'il juge mortifère »

(Article signé Eric Loret – à lire ici)

  

 

La Croix, 6 mars 2014, « Le problème avec Péguy »

« De tous les auteurs du XXe  siècle qui ont eu à souffrir du préjugé, de la pure malhonnêteté intellectuelle, Charles Péguy est de loin le plus atteint. (…) Benoît Chantre, seul de son espèce à ne pas se contenter de mettre ses pas dans le sillage des considérations attendues, lui consacre un livre admiratif, bourré d’intuitions. De la marée de livres parus sur Péguy, le sien se distingue par une aptitude singulière à ramener Péguy au premier rang, là où il doit être. Au premier rang, comme à l’école chère à l’auteur de Notre jeunesse? Non. Au premier rang de ce que l’on pourrait appeler les grands problématiseurs du XXe  siècle littéraire. Ils ne sont pas si nombreux, quand on y regarde de près. Qu’est-ce que cela veut dire? Cela veut d’abord dire ne pas tricher avec les faits: accepter cette loi de respect de la vérité des faits hors de laquelle il n’est pas de pensée qui vaille. »

(Article signé Michel Crépu – à lire ici)

  

 

Médiapart, 4 mars 2014, « Retour à Péguy »

 « En cette année du centenaire de la mort de Charles Péguy, Benoît Chantre nous donne avec Péguy, point final, aux éditions du Félin, un livre exigeant et éclairant sur cet écrivain injustement méconnu, en dépit de la gloire posthume qui fut la sienne. »

(Article signé Patrick Rodel – à lire ici)

  

 

France Culture, 16 janvier 2014

Le livre de Benoît Chantre est présenté lors de la chronique « 2minutes papillon » de Géraldine Mosna-Savoye au cours de l’émission "Les Nouveaux chemins de la connaissance" du 16 janvier 2014.

(chronique à (ré)écouter ici)

  

 

Le Figaro Magazine, 10 janvier 2014, « Péguy, cent ans après »

« Benoît Chantre publie une superbe méditation sur la fin de l'auteur de Notre patrie, montrant que celui-ci, par sa dimension littéraire, dépasse l'histoire "pour atteindre le moment où l'éternel soudain s'incarne dans le temporel". »

(Article signé Jean Sevillia -  à lire ici)